jeudi 20 novembre 2014

Pseudobéatification de Montini, et celui-ci comparé à Pape Urbain VIII

La béatification de Paul VI
Médias-Presse-Infos
https://www.youtube.com/watch?v=WFLQ8gA_DaU


I 3:23
des idées et des hommes ... le problème se complique-t-il peut-être du fait qu'un certain Augustin Bea, confrère apparemment moderniste de Bergoglio, de Georges Lemaître, de pourquoi pas Teilhard, était aussi très prisé dernièrement par Pie XII (ou Pacelli)?

II 6:33
Non, M. l'Abbé, vous ne bouffez pas du pape, Sa Sainteté Pape Michel n'est nullement impliqué dans la pseudo-béatification du pseudopape et du traître contre le Vatican Montini. Ce que "vous mangez" n'est nullement du pape non plus.

"traître envers le Vatican" nécessite peut-être une explication.

Abbé de Nantes avait fait un dossier - je me base sur les dires du Pape de nos jours, dans une vidéo - et le déposa devant "Paul VI". Ce même "Paul VI" était à la fois le juge et l'accusé pour hérésie et schisme.

C'est un cas qu'il aurait pu résoudre correctement. S'il était accusé, comme Urbain VIII quand il était ex-ami faché de l'accusé, pouvait faire intervénir une commission en donnant sa jurisdiction pour un cas donné à d'autres personnes sur un cas où il aurait été en manque au moins apparent de l'objectivité requise.

Notons, que Pape Urbain VIII a fait ceci, je le connais des ennemis de l'Église mais "amis de la Bible" qui prétendent que ce Pape ait poussé derrière les coulisses pour que Galilée soit condamné. Non, je ne crois pas ça. Il fut obligé d'abjurer en 1633 parce que trouvé en discorde objective d'avec la Sainte Bible et ceci par des Catholiques qui étaient hautement placés, sous le Pape, mais qui contrairement à celui-ci n'avaient pas été quasiment personellement insultés dans le, je "crois" qu'il s'agit du Dialogo.

"Paul VI" n'était pas en querelle avec le suspect, avec l'accusé, mais il était lui-même l'accusé de l'Abbé de Nantes. Il aurait pu suivre le bon example de Pape Urbain VIII.

Mais il fit appel à l'invahisseur de 1870 (ou son successeur, si on compte Italie-République comme un autre état que le Royaume) et invita la police italienne de négliger la souveraineté du Vatican, reconnue pourtant dans les accords de 1929.

S'il avait théoriquement quelque droit (ou aurait pu l'avoir en étant le vrai Pape) administratif (mais pas moral) d'expulser l'Abbé de Nantes, ce droit administratif passait par la Garde Suisse et non pas par la police italienne.

Et ce traître "béatifié"?

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